vendredi 29 février 2008
ADP Long / couvert -2.51%
AChat : éxécuté à la cloture sur 80.52
MAJ 3 Mars:
le niveau de stop est largement dépassé je coupe à l'open sur 78.5 soit -2.51%
ERA long / couvert -1.63%
FIM long / couvert + 11.65%
RF long / couvert +0.05%
jeudi 28 février 2008
mercredi 27 février 2008
lundi 25 février 2008
Mais long / Couvert +1.9%
Le Track Record de Jerome Kerviel
Posted by John Carney, Feb 21, 2008, 3:39pm
We woke up a bit when we read the Journal’s summary of the report: “The findings are likely to prompt widespread soul-searching within the banking sector.” Cue laughter.
But what really got our attention and tore the scales from our eyes was the chart attached to the report. Kerviel, according to SocGen, hid his real profit and loss by displaying an "official" P&L that was very small by comparison. After the jump, we bring you the chart.
Below, the dotted, nearly horizontal, line is the official P&L. The jagged, volatile line is the real P&L.
Chart via Alea and Felix Salmon.
Société Générale Details Lapses [Wall Street Journal]
source: http://dealbreaker.com/2008/02/jerome_kerviel_charting_his_tr.php
IAM long / Couvert -2.15%
Safran long / Couvert +1.64%
jeudi 21 février 2008
99 Trades : Bilan sur le portefeuille
Le % de trades gagnants:
Sur 99 trades cloturés, 59.6% furent gagnants.
Ce ratio est à prendre avec du recul puisque les opérations perdantes ont été coupé en 1 fois tandis que les opérations gagnantes ont put être clôturé en 2 voir 3 fois....
Le levier:
Le levier utilisé est de - en - élevé, depuis décembre je n'utilise pour ainsi dire plus aucun levier.
Le retour sur investissement:
Sachant qu'il faut compter environ 0.2% (chez IB) pour un aller retour, la perf net est d'environ :
148.93% -19.8% (0.2*99) = 129.13 % net
En réalité il y a eu - de 99 entrées puisque comme dit plus haut, les entrées gagnantes sont souvent fermés en 2 fois.
Pour des transactions > à 30K, les frais seraient + faible puisque le seuil max est de 30€ par transactions...
Le palladium explose....
Cuivre Long / Couvert -4.51%
3 Swing "intraday" effectués aujourd hui...
Les trades seront postés quand les positions seront fermés.
L'horizon de temps pour la détention de ces positions est de quelques jours.
GFI long / couvert - 3.49%
mercredi 20 février 2008
mardi 19 février 2008
Brent Nymex Warrant long / Couvert +36%
Grosse accélération sur le brent de New York, achat d'un warrant demain à l'ouverture.L'objectif court-moyen terme est à 120 $ !
Achat d'1 warrant échéance 11/2008, strike 100$, à 0.25.
MAj 17 Mars:
Je coupe la position apres avoir vu le cour du brent chutter de 3% sans pouvoir vendre car pas de market maker (!...commerzbank!), je coupe la position sur 0.34.
Cette chute brutal signal au mieux une consolidation.
HG n°2 long (swing intraday) / Couvert +3.65%
vendredi 15 février 2008
Gaz naturel long / Couvert +10.62%
HG swing n°1 long / Couvert +11.94%
jeudi 14 février 2008
Ubi Long / Couvert -4.34%
L'achat est effectué sur pull back au niveau de la cassure (2 scéances avant) de ce triangle de continuation.Forte volatilité sur ce titre.
Achat : 64.5
MAJ 15 fevrier :
Décidemment le marché n'est vraiment pas facile en ce moment sur les actions!Donc le stop a sauté sur 61.70 soit -4.34%.
mercredi 13 février 2008
Une fusion CME-Nymex profiterait aux céréales et à l'énergie
Par Christine Stebbins et Timothy Gardner
CHICAGO/NEW YORK (Reuters) - Les marchés américains de l'énergie et ceux des céréales, déjà rapprochés par l'essor des biocarburants, pourraient se rapprocher officiellement si le projet de fusion entre CME Group et le New York Mercantile Exchange (Nymex) aboutit.
Le CME de Chicago, premier marché de dérivés du monde, et le Nymex, première place américaine dédiée à l'énergie, ont confirmé lundi avoir entamé des négociations sur une éventuelle fusion qui valoriserait le Nymex à 11 milliards de dollars environ.
Ces discussions - exclusives pendant 30 jours - constituent le dernier mouvement en date du cycle de concentration du secteur des marchés dérivés, sur lesquels les opérateurs échangent des futures et des options pour se couvrir.
Le CME est lui-même né en juillet 2007 de la fusion entre le Chicago Mercantile Exchange et le Chicago Board of Trade.
L'ensemble né d'une éventuelle fusion entre CME et Nymex représenterait environ 95% du volume quotidien des futures et des options, couvrant une dizaine de matières premières, du pétrole brut aux céréales en passant par le bétail, mais aussi les bons du Trésor, les indices actions et l'eurodollar.
Un tel mariage se traduirait aussi par un rapprochement intéressant dans le domaine des carburants.
Aux États-Unis, le pétrole côté sur le Nymex sert de référence, tandis que le maïs et le soja échangés sur le marché des céréales CBOT, l'une des branches du CME, sont utilisés comme matières premières pour produire de l'éthanol et du biodiesel. Ces deux carburants alternatifs sont en pleine croissance grâce à une législation américaine contraignante.
BIENTÔT L'ETHANOL SUR LE NYMEX ?
L'année dernière, le CBOT a fait de l'ombre au pétrole sur Nymex. Alors que le pétrole brut sur Nymex a atteint un record de 100 dollars le baril, l'huile de soja sur le CBOT a grimpé à un plus haut historique à plus de 56 cents la livre.
"Il existe sans aucun doute une opportunité de réduction des coûts des participants, ce qui rendra les échanges plus compétitifs. Sur les marchés dérivés, plus vous pouvez combiner des types de produits différents, plus vous avez un avantage, et plus vous avez de marge", explique Michael Henry, spécialiste des marchés de capitaux au cabinet de conseil Accenture.
Dans les raffineries américaines d'éthanol, le maïs et le gaz naturel sont - dans l'ordre - les deux principales matières premières utilisées pour produire de l'éthanol.
Ainsi une raffinerie qui possède deux moyens pour se couvrir en achetant soit du maïs sur CBOT, soit du gaz naturel sur Nymex, verrait ses commissions baisser avec un nouveau système d'échange unifié.
Si la fusion a lieu, elle pourrait aussi dynamiser les échanges de futures éthanol du CBOT, qui peine pour l'instant à établir sa position, le secteur préférant toujours gérer ses risques de prix sur les marchés de gré à gré.
"Coter un futures d'éthanol sur un marché agricole à Chicago est la plus grosse erreur que l'on pouvait commettre", estime Tom Knight, trader pétrolier chez Truman Arnold.
"Je pense que les échanges sur ce contrat pourraient être environ 10 fois plus importants qu'aujourd'hui s'il était coté sur le Nymex. La réalité est que la plupart des gens qui travaillent sur l'énergie (acheteurs, raffineurs, traders) le font sur Nymex et pas sur CBOT.
Phil Flynn, analyste de marché chez Alaron Trading à Chicago partage cet avis et estime que la fusion offrira de nombreuses opportunités et qu'elle profitera "à tous les consommateurs d'énergie et d'éthanol du pays".
Christine Stebbins et Timothy Gardner, version française
Mathilde Cru
lundi 11 février 2008
Palladium Long / Couvert +6.59%
Maj 17 mars:
Le certif n'est pas réactif et le spread tres large, je lache ma position sur ce support car la consolidation est bien trop bearish.....je redoute un retour sur la base.
Sortie 4.53
Sucre long / Couvert -5.78%
Maj 17 mars:
Le certif n'est pas réactif et le spread tres large, je lache ma position sur ce support.
La consolidation est tres "bearish", je redoute un retour sur la base , je sors de ma postion sur 10.6 ....dommage...
vendredi 8 février 2008
AVT short / couvert 0%
lundi 4 février 2008
ALU long / couvert (1/2) -1.38% / couvert (1/2) -2.3%
Achat :4.34
Maj 5 fevrier: pas evident cette journée...entre bourse et école de commerce...
Retournement des indices, l'accélération n'est pas probante, je prefere couper 1/2 de ma position pour réduire mon risque meme si mon niveau de stop n'est pas touché.
Couvert 1/2 sur 4.28 soit -1.38%
Maj 6 fevrier:
Apres la cloture de wall street je prefere cloturer le reste de la position avant de voir mon stop sauter.
Couvert sur 4.24 soit -2.3%
dimanche 3 février 2008
Les traders pur-sang des marchés
LE MONDE | 02.02.08 | 15h07 • Mis à jour le 02.02.08 | 15h07A 9
Il est 19 h 45, heure de Londres. Alexandre Capez, 34 ans, trader à la City, le quartier d'affaires de la capitale britannique, rentre chez lui. Un peu stressé. "Ce soir, la Fed (la Réserve fédérale américaine) a baissé ses taux, le marché a pris 1,2 %", explique-t-il. Pour le trader, 1,2 % à Wall Street, la Bourse de New York, représente des milliers, peut-être des millions de dollars. En gains ou en pertes. "En une journée, constate-t-il, on peut finir à plus ou moins 100 000 dollars, parfois 10 ou 20 millions quand le marché est très volatil."
Alexandre Capez exerce depuis dix ans le métier de trader. Dix ans qu'il achète et vend des actions, des dérivés d'indices, des options, des "swaps", des "strikes" des "contrats futurs". Dix ans qu'il arrive tous les matins à 6 h 30 au desk de sa banque multinationale d'investissement. A 7 heures, dans la salle des marchés, se tiendra le "morning meeting", où chacun fera le point sur la situation du marché et sur ses investissements. Dix ans qu'il travaille jusqu'à 21 heures, au mieux. Dix ans qu'il ne déjeune pas. Dix ans que son adrénaline fluctue en fonction des cours de Bourse.
Dix ans, c'est déjà une limite. "Au-delà, les traders sont rincés, remarque Vincent Riotte, chez Demos, un institut de formation financière, la plupart d'entre eux ne dorment que quatre heures par nuit." Comment faire autrement lorsque, quelque part dans le monde, une Bourse est encore ouverte ? La journée en Europe, la nuit aux Etats-Unis, l'Asie au petit matin. Dans cet univers en éveil, un écran est toujours allumé sur les tableaux de chiffres délivrés par Bloomberg ou Reuters.
Comme une fenêtre illusoire sur le monde, on y lit le cours des matières premières, on y décrypte les signes avant-coureurs des grands soubresauts de l'économie mondiale. "Autant dire que l'on peut prévoir l'avenir", disent entre eux les financiers. Lorsqu'on rentre enfin chez soi, l'information défile encore sur le BlackBerry dont plus aucun trader ne saurait se passer. "Cela vous obsède jour et nuit, chaque "tick" de baisse est une souffrance, mais un bon coup vous donne l'illusion d'être le roi du monde", sourit Philippe P., trader à Paris qui souhaite garder l'anonymat "parce que les bonus vont tomber et que ce n'est pas le moment de mal jouer sa partie".
Etre grisé en un instant, ou anéanti. A ce jeu-là, la vie familiale fait difficilement le poids. On répond au téléphone en coup de vent, en lançant un "rapide, rapide !" Les week-ends à Méribel peuvent bien être luxueux, ils sont souvent bâclés. La jeunesse se brûle au travail. Il n'y a pas de vieux trader dans les salles de marché : la moyenne d'âge est de 28 ans. Il y a peu de femmes. A peine 10 %. Elles préfèrent généralement travailler au "back office", qui fournit le soutien administratif et logistique aux opérations menées par le "front office". "Parmi les dominés", disent les traders les plus arrogants.
"Le week-end, le soir, en vacances, ces financiers cogitent tout le temps", poursuit Vincent Riotte. Un changement d'orientation de la Fed a infiniment plus d'impact qu'un remaniement ministériel. Une interview de Jean-Claude Trichet, le président de la Banque centrale européenne, est plus ardemment commentée qu'une élection présidentielle en France. Car une décision économique, monétaire, un grain de sable, suffisent parfois à provoquer un krach. Et pour le trader, "une grosse paume", une opération qui aura fait perdre au portefeuille dont il a la charge des montants qui feraient frémir le commun des mortels.
La répétition de deux ou trois pertes importantes et c'est la certitude de devoir quitter la salle des marchés. Un coup de maître et le bonus, ces primes négociées en février, pourra atteindre plusieurs millions d'euros. "Les bons gagnent en général 3 millions à 4 millions d'euros par an", précise Vincent Riotte. L'appât du gain n'est pourtant pas le seul objectif. "Etre trader c'est un état d'esprit, il faut aimer l'argent, certes, mais aussi la compétition, vouloir être le meilleur, dépasser les autres", indique un ex-trader.
"Même si nous cherchons tous à opposer notre intelligence face à l'aléatoire, nous sommes avant tout des joueurs", souligne Julien, trader dans une grande banque d'affaires française. L'incertitude est le coeur du métier. L'analyse des cours, le pari sur les orientations à venir, une drogue qui forge la personnalité. Il n'est pas rare de poursuivre la soirée par un poker, une fois quittée la salle des marchés. Les traders stars d'aujourd'hui n'ont pourtant plus grand-chose à voir avec ceux d'il y a vingt-cinq ans, lorsque les commerciaux dominaient encore le métier. Les golden boys des années 1980, lessivés par les krachs boursiers, ont cédé la place aux mathématiciens nourris aux algorithmes. Ceux-là sont devenus les véritables seigneurs de la finance. Un Jérôme Kerviel, aujourd'hui mis en cause par la Société générale, venu du "middle office", c'est-à-dire les postes de contrôle et de supervision des salles de marchés, ne pourra que rarement espérer atteindre leur niveau.
"Les traders issus de petites écoles de commerce ou d'université ne représentent que 20 % des effectifs et n'ont pas la force du réseau qui permet, par cooptation, d'entrer dans les desks des meilleurs établissements bancaires", constate Olivier Godechot, sociologue à l'Ecole des hautes études en sciences sociales (EHESS). La surprise, et parfois le mépris, qu'a suscité le CV du trader accusé d'avoir fait perdre 4,9 milliards d'euros à la banque française, en disent long sur le nouveau visage des opérateurs d'aujourd'hui.
Car être trader, c'est aussi appartenir à une caste. Un monde à part, dominé, en France, par les grandes écoles, Polytechnique, Centrale, l'Ensae, parfois HEC ou l'Essec. Et, pour la crème de la crème, par les titulaires du mastère probabilités et finances de Nadine El-Karoui. Les diplômés du "El-Karoui", comme ils appellent entre eux ce label d'excellence, sont les plus recherchés. Les plus chers à recruter. Cette mathématicienne, professeure à Polytechnique et à Paris-VI, a formé des générations de "quants", ces analystes quantitatifs, spécialistes des titres financiers sophistiqués que sont les produits dérivés d'actions ou d'obligations. Ceux-là iront grossir les rangs des traders à Paris ou mieux encore des grandes banques de Wall Street ou de Londres, là où les salaires sont les plus élevés et où ils sont aisément repérables parce que dans leurs desks, malgré le jargon anglosaxon obligatoire, surnagent des blagues en français
Jeunes et riches, il leur est parfois difficile de garder la tête froide. Bien sûr, ils peuvent flamber, avec leurs voitures de luxe et leurs caves de grands crus achetés plus souvent pour leur valeur spéculative que par goût véritable. Mais le vrai danger qui les guette reste la salle des marchés. "Les traders qui durent sont ceux qui savent être raisonnables, constate Alexandre Capez, et traverser une situation extrême sans se brûler les ailes." Prendre son bénéfice lorsqu'il est temps. "Et garder à l'esprit, renchérit Philippe P., que le plaisir de gagner est souvent moins fort que la souffrance de perdre." En somme, être capable de renoncer à une transaction qui s'annonce juteuse mais peut amener à la débâcle.
Dans les salles des marchés, la légende véhicule toujours ces cas de suicide de traders qui s'étaient vu "couper leur position" par leur direction. "Au fond, pour être un bon trader, il faut avoir vécu une fois un krach et savoir que l'on ne voudra pas le revivre une deuxième fois", sourit Bruno Petit, ancien trader devenu aujourd'hui scénariste et producteur de la série télévisée "Scalp", qui décrit le fonctionnement de la Bourse lors de la première guerre du Golfe. Il n'est pas rare que les traders expérimentés s'appellent entre eux les "survivants".
Toutes les grandes banques savent bien qu'au-delà des cas de fraude, le véritable danger c'est cette excitation devant des opérations gigantesques par leur montant et dématérialisées par le système entièrement informatisé. Toutes ont leur armada de psychologues attentifs au recrutement et leurs contrôleurs chargés de vérifier les transactions. Mais un chef de salle, dont le bonus dépend des performances de son équipe, pourra toujours passer outre l'avis du département des ressources humaines s'il veut attirer les meilleurs. Et les contrôleurs sont bien souvent méprisés.
Dans les salles des marchés ultra-hiérarchisées, où les équipes de polytechniciens peuvent snober les centraliens du desk voisin, le "back office" censé réclamer des explications aux traders et aux vendeurs du "front" est le plus souvent moqué. Moins bien payés, considérés comme des subordonnés, les contrôleurs ont aussi souvent du mal à comprendre la complexité des transactions engagées par les forts en maths du "front office" qui les surnomment parfois "les bras cassés".
Les seigneurs de la finance poursuivent donc leur vie à part. Loin, même, des banquiers eux-mêmes, qui ignorent le plus souvent la salle des marchés. Plus tard, lorsque, à 30 ans passés, ils auront survécu aux crises, ils investiront leurs gains dans des vignobles ou, plus souvent, dans des hedge funds. Pour garder un peu d'adrénaline, même lorsqu'ils pourraient tout bonnement devenir rentiers
vendredi 1 février 2008
Le marché sur un "V bottom " ?
Source :http://www.trading-school.eu/
Présentation V bottom :
Le « V » bottom est une configuration de creux ou de continuation haussière qui apparaît brutalement. Dans le premier cas, il s'agit d'une accélération de tendance baissière amenant à un sell-off (ventes paniques finales) et qui est généralement suivi d'une brusque remontée des cours. Dans le second cas de figure, il s'agit d'une correction brutale que l'on peut généralement attribuer à une mauvaise nouvelle qui a créé une panique.
La formation de cette figure contrairement au rounding bottom ne résulte pas d'un changement progressif de psychologie mais de la peur des intervenants qui se traduit par une panique sur le marché.
Les volumes sont généralement en forte hausse, ce qui coïncide avec la panique baissière, une hausse de volumes est généralement observée sur la cassure.