mercredi 15 octobre 2008

Mise à jour de mon CV


Dans cette tempête financière les opportunités professionnelles pour apprendre davantage et rencontrer des personnes prêtent à transmettre leurs connaissances deviennent de plus en plus rare.

Je suis à la recherche d'un stage en alternance jusqu'à Février 2009 puis d'un stage de fin d'étude à partir de Mars 2009.

Voici mon CV.

Cdl,

Cédric Froment.



[Interview] Mr Belkhayate: "La hausse des marchés est illusoire... "

Interview de Capital.fr

14 octobre 2008, La hausse des marchés est illusoire...

"La hausse du CAC 40 est illusoire, le marché parisien va encore perdre 30% !" 14 Octobre 2008, Trader et gestionnaire du fonds or Mansa Moussa Gold Fund (1,2 milliard de dollars d'actifs en gestion), qui affiche une performance moyenne - étonnante par sa constance - de 3% par mois depuis sa création en avril 2005, Mostafa Belkhayate a eu le nez creux en affirmant que l'or allait rallier la barre psychologique des 1.000 dollars et que le CAC 40 allait glisser sous les 4.000 points avant l'automne. Le gérant, qui compte désormais associer les investisseurs à son engagement dans l'humanitaire, nous donne ses prévisions sur le dollar, les matières premières et le CAC 40. Capital.fr : Quel crédit accordez-vous à la hausse historique de la journée d’hier et quels conseils pouvez-vous donner aux investisseurs ? Mostafa Belkhayate : La première chose est de prendre le temps de réfléchir. Surtout ne pas se précipiter pour acheter à tout va. Etre conscient que lorsque le marché est calme, c’est notre raison qui entre en jeu alors que lorsque le krach est là, ce sont nos émotions qui prennent le pas. Personne ne peut sauver votre portefeuille. Ni le marché, ni Sarkozy, ni le G7. Vous devez compter uniquement sur votre propre jugement. Acheter, vendre, attendre ? Vous avez le destin de votre argent entre les mains. Ne le confiez à personne. Mon conseil est simple : ne surtout pas acheter, attendre que l’euphorie joue encore un peu et être parmi les premiers à liquider tout votre portefeuille. Sur le graphique ci-dessous, on prend toute la mesure du potentiel de baisse des grands marchés européens. Ce qui vient d’arriver n’est que le début d'une correction d'ampleur.



Capital.fr : Qu’est ce qui vous fait penser que la chute n’est pas terminée ? Mostafa Belkhayate : Lorsqu’il y a un crime, cherchons le coupable du coté de celui qui en profite. Washington a résolu en moins d’une semaine le grave problème des créances américaines : en faisant croire que Freddie Mac et Fannie Mae, deux organismes américains de financement, risquaient la faillite, les financiers yankee ont coupé l’herbe sous les pieds des chinois, qui possèdent près de 400 milliards de dollars d’obligations émises par ces institutions. Ces dernières, aujourd’hui loin de leur valeur initiale, ne peuvent plus être revendues. Tous ceux qui pourraient en acheter en ont déjà ; les japonais, les européens, les russes, les arabes,… Voilà comment on peut dissoudre des milliers de milliards de dollars de dette. Pour moi, c’est la seule explication du sacrifice de Lehman Brothers. C’est ingénieux, d’autant plus que Washington a manipulé le prix du pétrole à la hausse à partir d’avril 2008 pour "offrir" sur un plateau venimeux un maximum d’obligations aux arabes, qui leur ont toujours fait une confiance aveugle. Une fois le plein fait, on lâche le pétrole et les obligations. Le mécanisme a parfaitement marché puisque aujourd’hui les créanciers amis de l’Amérique n’ont que du papier sans valeur entre les mains. Voilà la vraie guerre ! Sauf qu’il me semble qu’on ait sous-estimé la réaction de "ces amis". Leur réaction sera violente, foudroyante…car ils ne vont pas se laisser faire. La crise boursière ne fait que commencer. On va assister à une attaque en règle sur le billet vert… Capital.fr : Justement la monnaie unique a décroché de 15% depuis le sommet annuel inscrit face au billet vert, à plus de 1,60 dollar pour un euro. Comment expliquer cette évolution ? Mostafa Belkhayate : Le dollar devrait continuer à monter à court terme, mais il ne faut pas se fier à ce mouvement. Le billet vert, comme je viens de l’expliquer, est voué à plonger… pour probablement perdre jusqu’à 50% de sa valeur actuelle. On va assister à un retour violent de la monnaie unique sur ses plus hauts avant 2009, puis l'euro devrait rallier le niveau de 2,25 dollars avant 2010.


Le graphique ci-dessus nous donne clairement une idée de ce qui nous attend : le marché vient de faire un pull back technique sur un niveau très important (80), ayant servi de très fort support depuis vingt ans. La cassure de ce niveau est historique car elle signifie que le potentiel de baisse est égal à l’amplitude de la hausse réalisée entre 1995 et 2002. Ces trois derniers mois, on a assisté à une forte hausse du dollar. Elle est illusoire et ne doit pas faire croire à un retour en puissance du billet vert. Ce mouvement de correction confirme que la prochaine vague de baisse sera violente et irrésistible. Le dollar est mourrant mais cela ne se voit pas encore…sauf pour un analyste technique. La plupart de mes clients du Moyen-Orient détestent ma vision négative du dollar, qu’ils chérissent plus que tout. Ils n’arrivent pas à accepter que ce qui représente la splendeur américaine, le billet vert, n’ait pas d’autre alternative que de se dévaloriser. Pourtant, ceux qui ont suivi mes conseils dès 2005 ne le regrettent pas ! Capital.fr : Le compartiment des matières premières a particulièrement souffert au cours des derniers mois. Quels sont vos anticipations sur l'or noir et le métal jaune ? Mostafa Belkhayate : Le pétrole et l’or semblent avoir baissé pour une même raison, la hausse du dollar. Comme la devise américaine ne peut que chuter, il faut s’attendre à la fin de la baisse des prix des matières premières dès la semaine prochaine. Selon certaines analyses, le fléchissement de l’économie mondiale serait la véritable explication de la chute des cours. Je crois plutôt que des gérants à la recherche de cash ont liquidé à tout va, un peu dans la panique. Bien que le cours de l’or ait reculé, il n’a jamais été dans une aussi bonne position pour exploser. Le marché de l’or physique s’est asséché. Les opérations de gré à gré deviennent de plus en plus rares. Presque tous ceux qui avaient de l’or "caché" pour des raisons fiscales ou autres ont trouvé acquéreur. Maintenant, les chinois sont pratiquement obligés d’aller s’approvisionner sur le marché international, ce qui aura un impact sur les prix. Vendredi dernier, les banques suisses ont connu un record historique de demandes de liquidés, à près de 100 fois la moyenne quotidienne normale. En effet, les clients préféraient liquider leurs avoirs papiers (titres, obligations), retirer le cash et le mettre en sécurité dans leur coffre–fort, de peur qu’ils ne puissent un jour récupérer leurs fonds. Désormais, il est beaucoup plus facile d’investir dans l’or, une fois qu’on a des liquidités disponibles et que la tempête semble maîtrisée. Et plus difficile, psychologiquement, de revenir sur des actions. Par ailleurs, certaines banques centrales ont commencé, de manière discrète mais décidée, à augmenter leurs réserves d’or. La très prochaine baisse du dollar fera office de catalyseur à un engouement pour le métal précieux. Bref, la probabilité que l’or s'envole dans les semaines à venir est très forte. Et le pétrole suivra. Aux sceptiques, je recommande de ne pas vendre ces deux marchés, et aux courageux de ne pas hésiter à devenir propriétaires de lingots d’or.

Source

Propos recueillis par Nicolas Gallant pour www.capital.fr

http://www.belkhayate.ma/fr/detail_act.php?id_act=105

mardi 14 octobre 2008

L'or toujours dans le trend


Vision Moyen terme
Le mouvement de l'or evolue toujours dans un canal haussier long terme. Le dernier retracement autour de 730 $ correspond au niveau de retracement de 38.2% de Fibonacci. Cette zone converge aussi avec la zone d'exces du canal haussier. La conclusion est que le point bas de la correction a probablement été touché et que maintenant les prochains objectifs sont fixés à 1150 et 1330 $.

Gold
(Cliquez pour agrandir)


Vision Court terme
La volatilité reste élevé avec cette figure d'elargissement. Il est possible d'anticiper une potentielle Tete Epaule inversée dont la 2eme épaule serait en formation. Cependant aucune position ne devrait etre ouverte pour le moment. Il s'agit d'attendre soit une confirmation de l'ETEI soit un retour sur le retracement 38.2% pour une eventuelle entrée.

dimanche 12 octobre 2008

EUR / GBP vers le sud ?

Après une sortie haussière de triangle, l'accélération a été avorté. La devise est maintenant en train de toper sur une figure d'élargissement.

Une correction en direction de 0.74 comme premier objectif est désormais le scénario le plus probable. Seul un nouveau plus haut invaliderait ce scénario.

EUR / GBP
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jeudi 9 octobre 2008

`Unprecedented Short Squeeze' on Volkswagen

L'explication de cette hausse foudroyante est un énorme short squeeze!


Volkswagen Can Thank Lehman, Hedge Funds for Gains (Update3)

By Alexis Xydias

Oct. 7 (Bloomberg) -- Volkswagen AG, Europe's largest automaker, just became this year's best performing stock on the continent, benefiting from hedge-fund trading strategies and the collapse of Lehman Brothers Holdings Inc.

Volkswagen is up 190 percent this year after surging as much as 55 percent today. The company was one of only four in the Dow Jones Stoxx 600 Index that advanced yesterday in the worst decline for the European gauge since October 1987. The owner of the Audi brand today surpassed Toyota Motor Corp. as the world's biggest carmaker by market value.

With analysts forecasting profit growth will slow to 1 percent in 2009 from 17 percent this year, the Wolfsburg, Germany-based car producer's earnings outlook isn't boosting its price. Instead traders who shorted the shares on expectations they would decline on Porsche SE's bid for a majority stake were forced to close their positions, according to three people in the securities-lending business who declined to be identified. The failure of Lehman, which lent Volkswagen shares to short-sellers, probably helped trigger a so-called short-squeeze, they said.

``This is a popular, crowded short play that has caused the shares to become disconnected with the company's fundamentals,'' said Renaud Berenguier, who advises hedge funds on equity trading at Aurel BGC in Paris. ``You take one of the biggest prime-brokering lenders, and one of the most shorted stocks in Europe, and this is the result.''

Volkswagen Profits

About 15 percent of Volkswagen's common shares as of last month were shorted, or borrowed and sold on expectations they can be repurchased later at a lower price, according to London- based research firm Data Explorers. That was the most in Germany's 30-stock DAX Index.

Net income for Volkswagen, owner of the Skoda and Seat brands, will be little changed in 2009 from the estimated 4.83 billion euros ($6.52 billion) it will earn in 2008, according to the average projection of analysts surveyed by Bloomberg. The German automaker is confident of meeting its 2008 performance targets, Chief Executive Officer Martin Winterkorn said Oct. 1 in a Bloomberg Television interview at the Paris Motor Show.

Volkswagen rose 5.2 percent to 292.35 euros yesterday, the biggest climb in the Stoxx 600, which tumbled 7.6 percent. The carmaker's advance yesterday gave it a 2008 gain that surpassed the 86 percent rise by London-based Enodis Plc, which supplies salad bars, cookers and worktops to U.S. fast-food chains. Volkswagen jumped as much as 55 percent to 452 euros in Frankfurt today, the biggest intraday gain since at least 1989, while the Stoxx 600 fell as much as 1.6 percent.

``This stock has become a barometer of hedge-fund pain'' that rises when markets fall, said Aurel's Berenguier.

`Unprecedented Short Squeeze'

This year's surge left Volkswagen's shares valued at 35.2 times earnings, more than three times as expensive as the other eight companies in the Bloomberg Europe Autos Index. Christine Ritz, a spokeswoman for Volkswagen, said the carmaker doesn't comment on its share price.

Volkswagen's ``current lofty valuation is the result of an unprecedented short squeeze in the stock, driven by the unwinding of several trades popular with hedge funds,'' said Tucker Golden, managing partner at New York-based hedge fund Solas Capital Management LLC.

Natixis Securities analyst Georges Dieng wrote in a Sept. 22 note that short covering has lifted Volkswagen's share price to levels that weren't justified by the carmaker's earnings prospects. New York-based Lehman was ``supposedly a big lender'' of Volkswagen's stock, he wrote, citing market ``assumptions.'' Paris-based Dieng and 31 other analysts tracked by Bloomberg recommend selling Volkswagen's shares, while only two rate the stock a ``buy.'' Six have a ``hold'' or equivalent rating.

27 Percent Jump

Banks that lent Volkswagen's stock to Lehman for use in short sales by their clients probably recalled their loans when the brokerage collapsed on Sept. 15, according to the three people who declined to be identified because the transactions aren't public. In order to keep their client accounts balanced in the meantime, the lenders were likely forced to buy the shares in the open market, the people said.

The process may have spurred Volkswagen's 27 percent jump on Sept. 18, when a recall request would expire under German securities trading settlement periods. The lenders' buying may have sparked further purchases from borrowers of the stock in a so-called short-squeeze.

While Volkswagen's shares rallied, the Stoxx 600 slipped for a fourth session. The next day, Volkswagen had its steepest loss since 1989, falling 14 percent even as the Stoxx 600 surged 8.3 percent, the biggest gain on record.

Lehman's Collapse

Lehman said it had more than $613 billion of debt and $639 billion of assets when it collapsed last month in the biggest bankruptcy in history. The firm was ranked fifth among 26 prime brokers for its services in a survey of lenders by International Securities Finance magazine.

Emma Thorogood, a spokeswoman for PricewaterhouseCoopers, Lehman's bankruptcy administrator in London, declined to comment on the brokerage's equity holdings.

The plan by Stuttgart, Germany-based Porsche, Volkswagen's biggest shareholder, to buy a majority stake in the automaker may have contributed to the number of short bets, Golden said.

Traders wagered that the spread between Volkswagen's regular shares, which carry voting rights, and its preferred stock, which doesn't, would narrow in favor of the latter, Golden said. The voting rights would become less valuable as Porsche, maker of the 911 sports car, increases control.

Porsche said on Sept. 16 that it had raised its Volkswagen stake by 14.4 million shares, to 35.1 percent. The carmaker has said it plans to boost the holding to more than 50 percent by the end of November.

`Driven by Speculation'

Porsche probably acquired an option to buy the extra shares, Deutsche Bank AG's Frankfurt-based analyst Jochen Gehrke wrote in a note in August. The counterparties in this agreement likely bought the stock to hedge their obligations and later lent it to short-sellers in a transaction that may have amounted to about 30 percent of Volkswagen's free float, Deutsche Bank estimated at the time.

Porsche's head of investor relations, Frank Gaube, didn't return two telephone messages seeking a comment.

The spread between the common and preferred shares reached a record 340.47 euros today. The widening of the gap inflicted losses on investors who had bet on a convergence.

``Many investors short the common shares because the valuation is very high,'' said Sven Diermeier, an analyst at Independent Research Gmbh in Frankfurt. ``The fundamental data of the company don't justify the valuations the stock has at the moment. The share is driven by speculation.''

To contact the reporter on this story: Alexis Xydias in London at axydias@bloomberg.net.

Last Updated: October 7, 2008 07:16 EDT

SOURCE:
http://www.bloomberg.com/apps/news?pid=20601110&sid=ad09Cf8uGNn0

mardi 7 octobre 2008

Trade commenté sur Volkswagen

Le trade
Entrée : 200€
(Renfort loupé sur 210)
Renfort : 290€ à l'ouverture ce matin
Couvert : à midi sur 400€

Volkswagen
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Mi juillet le titre est prêt pour une hausse à fort potentielle, le titre progresse sur de nouveaux plus hauts avec des volumes en augmentation.

Pendant aout, le marché accumule dans un triangle de continuation de tendance. La baisse des volumes révèle la faiblesse des vendeurs, je décide d'entrée sur le titre avant de partir en vacances.

Le 11 Septembre la cassure du triangle se fait sur volume mais hélas je n'ai pas accès à internet pour surveiller et renforcer ma position.

Fin septembre le titre consolide dans un triangle sur des volumes en baisse.... il n'y a toujours pas de pression vendeuse capable de renverser le titre.

Lundi 6 octobre, le triangle est cassé à la hausse en cloture et sur volume.

Mardi 7 octobre je décide de renforcer ma position dès l'ouverture sur 290 pour une accélération d'objectif 400€. Le mouvement est foudroyant et à midi l'objectif est atteint.
Le chandelier révèle un selloff , la distribution aura été tres rapide et le titre risque maintenant de corriger.

samedi 4 octobre 2008

[Video] Les débuts de Mr Belkhayate



http://www.belkhayate.ma

Quelques titres recherchés sur l'europe

Voici quelques titres recherchés sur le marché européen malgré la chute vertigineuse des indices.

Hermes
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British Energy
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Volkswagen
(Cliquez pour agrandir)

Retour de vacances

Bonjour à tous,

je rentre tout juste d' 1 mois de vacances en Indonésie.
Le blog reprendra donc son activité dès lors mais avec un caractère beaucoup plus informel.

Le marché est très tendu et les recommandations"Bullish" sur les quelques actions à fort potentielles ne méritent pas d'être publié étant donnée le fort taux d'echec des configurations haussières dans un marché baissier.

Je reprends les études avec une probable alternance chez Newedge (desk ERAD) donc la cadence des publications ne sera pas quotidienne.

Je vous souhaite une bonne rentrée

Cédric Froment